HE
In Indian culture, men are warriors,
the protectors.
Four young doe are ripped away from
a dying herd.
They are placed in the care of a pair
of white lions.
Everyday for nine years, they are afraid
of being eaten.
The predators enjoy tormenting the younglings,
rendering permanent scars in
soft baby flesh.
Yet, they learn to survive, escaping them
and many others.
As full grown deer, they shed their
horns of ignorance.
Set free from a lie,
they awaken.
Set free…by the son of He.
God also to the Indian man.
Now, they dance in sunshine.
Now, they rest in shade.
Unafraid in the Greatest spirit.
He – sprinkles his own blood over
them and keeps them
in peace.
(Extrait de Common threads, The Elisabeth Fry Society of Edmonton, p. 43)
LUI
Dans la culture indienne, les hommes sont des guerriers,
les défenseurs.
Quatre jeunes biches ont été arrachées d’une
troupe mourante.
Elles sont mises aux bons soins d’une paire
de lions blancs.
Durant neuf ans, chaque jour, elles avaient peur
d’être mangées.
Les prédateurs aiment tourmenter les jeunes,
leur infligeant des cicatrices permanentes dans
leur chair souple de bébé.
Néanmoins, elles apprennent à survivre, fuyant loin d’eux
et de beaucoup d’autres.
En devenant des biches adultes, elles perdent leurs
cornes d’ignorance.
Libérées d’un mensonge,
elles s’éveillent.
Libérées…par le fils de Lui.
Dieu pour Indien aussi.
Maintenant, elles dansent dans le soleil.
Maintenant, elles se reposent dans l’ombre.
Sans peur dans le plus Grand esprit.
Lui – il les arrose de son sang et les garde
en paix.
Translated by/traduit par Deanna Kayne